Numéro | 2011-223 |
Réf. de la décision du CC | Garde à vue en matière de terrorisme : désignation de l'avocat |
Réf. décision de transm. | n° 354200 du 23 décembre 2011 |
Date | 17/02/2012 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Syndicats, association professionnelle, ordre professionnel |
Identité de l'auteur | Ordre des avocats au barreua de Bastia |
Matière | Droit pénal |
Dispositif | Inconstitutionnalité avec abrogation simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Absence de remise en cause |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | 2 |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Conciliation entre les ppes constitutionnels : prévention des atteintes à l'ordre public (notamment la sécurité des personnes et des biens), la recherche des auteurs d'infractions et les libertés constitutionnellement garanties (dts de la défense notamment) |
Motif d'inconstitutionnalité | art 16 DDHC |
Remarque | Nouvelle décision relative à la garde à vue. Formulation des effets dans le temps : pas d'effet rétroactif ? Cela pourrait se justifier dans la mesure où le requérant est une personne morale de droit privé (avocats) et non une personne physique. pas besoin d'effet utile ? |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |