Numéro | 2012-263 |
Réf. de la décision du CC | Validation législative et rémunération pour copie privée |
Réf. décision de transm. | décision n° 347934 du 16 mai 2012 |
Date | 20/07/2012 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Syndicats, association professionnelle, ordre professionnel |
Identité de l'auteur | Syndicat des industries de matériels audiovisuels électroniques - SIMAVELEC |
Matière | Droit fiscal |
Dispositif | Constitutionnalité simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | 5 |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Recherche d'un but d'intérêt général suffisant |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | QPC sur une loi de validation remettant en cause une décision du CE. La décision d'annulation du CE était en partie motivée par le non respect du droit communautaire (interprétation de la CJUE). Même si cette décision d'annulation avait fait l'objet d'une modulation et donc avait été différée, le CCel, en déclarant la loi de validation conforme à la Constitution, prend le contre-pied du CE et de l'UE ! Primauté du droit interne ? |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |