Numéro | 2013-302 |
Réf. de la décision du CC | Délai de prescription d'un an pour les délits de presse à raison de l'origine, l'ethnie, la nation, la race ou la religion |
Réf. décision de transm. | Cass. Crim., 22 janvier 2013, n° 12-90064 |
Date | 12/04/2013 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | M. Laurent A. et autres |
Matière | Droit pénal |
Dispositif | Constitutionnalité simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 8 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Oui |
Nom du membre déporté/récusé | Michel Charasse |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | 4 |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Rappel des obligations du législateur en matière d'imposition selon l'art 34 C. Constat que les modalités de recouvrement ne sont pas prévues alors qu'elles le devraient. Sanction de l'incompétence négative. |
Motif d'inconstitutionnalité | Incompétence négative privant le droit propriété |
Remarque | - Considérant sur les interventions
- Limitation des effets dans le temps dans la mesure où la loi de finances succédant à celle contestée prévoit les modalités de recouvrement ainsi qu'une certaine rétroactivité. Le Conseil constitutionnel complète cette rétroactivité. |
Caractère notable de la décision | Non |
Droit Constitutionnel Invoqué | Non |