Numéro | 2013-356 |
Réf. de la décision du CC | Prorogation de compétence de la cour d'assises des mineurs en cas de connexité ou d'indivisibilité |
Réf. décision de transm. | Cass. Crim., 25 septembre 2013, n° 13-90025 |
Date | 29/11/2013 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | M. Christophe D. |
Matière | Droit pénal |
Dispositif | Constitutionnalité simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 7 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Oui |
Technique de contrôle | Utilisation d'un OVC en stratégie défensive par le Conseil Constitutionnel. |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | 2 membres absents sans justification.
OVC invoqué à l'encontre de la loi par le requérant (stratégie offensive). Le Conseil Constitutionnel retourne l'argument et utilise l'OVC de manière à défendre la loi (cons.7). L'OVC ne peut d'ailleurs pas être invoqué en lui-même (cons.12)
Cons.8 : référence à la Cour de cassation sans précision (JP ?) |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |