Numéro | 2013-360 |
Réf. de la décision du CC | Perte de la nationalité française par acquisition d'une nationalité étrangère - Égalité entre les sexes |
Réf. décision de transm. | Cass. 1ère Civ., 9 octobre 2013, n°13-40053 |
Date | 09/01/2014 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | Mme Jalila K. |
Matière | Droit des étrangers |
Dispositif | Inconstitutionnalité avec abrogation simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Rétroactivité élargie |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | 1 |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Inopérance des griefs (les dispositions attaquées ne sont pas réellement applicables au litige) |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | Le requérant n'attaque pas les bonnes dispositions (article L. 313-12 du CESEDA). Le Conseil constitutionnel précise lesquelles il faudrait attaquer (7° de l'article L. 313-11 du même code). Il n'examine pas pour autant ces dispositions car il n'a pas à revenir sur le controle des juges du filtre mais il va plus loin que d'habitude (et d'une certaine manière répond implicitement à la question) |
Caractère notable de la décision | Non |
Droit Constitutionnel Invoqué | Non |