Numéro | 2013-371 |
Réf. de la décision du CC | Majoration de la contribution supplémentaire à l'apprentissage |
Réf. décision de transm. | décision n° 372333 du 20 décembre 2013 |
Date | 07/03/2014 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Entreprise (publique, privée dont coopérative et GIE) |
Identité de l'auteur | SAS Labeyrie |
Matière | Droit fiscal |
Dispositif | Constitutionnalité avec réserve(s) |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 8 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Oui |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Qualification juridique de la sanction comme n'ayant pas la qualité d'une punition Contrôle de proportionnalité la sanction Réserve d'interprétation (§9) où le CC précise que "le principe de proportionnalité implique qu'en tout état de cause, le montant global des sanctions éventuellement prononcées ne dépasse pas le montant le plus élevé de l'une des sanctions encourues" |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | Le CC organise l'articulation des rapports entre l'administration et le Parlement en ce qui concerne la mise en œuvre des sanctions financières en cause et fixant à l'administration des obligations liées à la réserve d'interprétation qu'il formule au §9 : "qu'il appartient donc aux autorités administratives compétentes de veiller au respect de cette exigence ; que, sous cette réserve, le grief tiré de la violation des principes de nécessité et de proportionnalité des peines doit être écarté" |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |