Numéro | 2013-368 |
Réf. de la décision du CC | Saisine d'office du tribunal pour l'ouverture de la procédure de liquidation judiciaire |
Réf. décision de transm. | Cass. Com., 10 décembre 2013, n°13-17438 |
Date | 07/03/2014 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Entreprise (publique, privée dont coopérative et GIE) |
Identité de l'auteur | Société Nouvelle d'exploitation Sthrau hôtel |
Matière | Droit juridictionnel |
Dispositif | Inconstitutionnalité avec abrogation simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Absence de remise en cause |
Nombre de membres siégeant | 8 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Contrôle de l'existence d'un but dintérêt géénral poursuivi par le législateur Contrôle de l'existence de garanties légales suffisantes face au risque de préjugemet après saisine d'office |
Motif d'inconstitutionnalité | "ni les dispositions contestées ni aucune autre disposition ne fixent les garanties légales ayant pour objet d'assurer qu'en se saisissant d'office, le tribunal ne préjuge pas sa position lorsque, à l'issue de la procédure contradictoire, il sera appelé à statuer sur le fond du dossier au vu de l'ensemble des éléments versés au débat par les parties" |
Remarque | Non défini |
Caractère notable de la décision | Non |
Droit Constitutionnel Invoqué | Non |