Numéro | 2014-400 |
Réf. de la décision du CC | Frais engagés pour la constitution des garanties de recouvrement des impôts contestés |
Réf. décision de transm. | décision n° 375088 du 9 avril 2014 |
Date | 06/06/2014 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Entreprise (publique, privée dont coopérative et GIE) |
Identité de l'auteur | Société Orange SA |
Matière | Droit fiscal |
Dispositif | Droit transitoire et abrogation différée |
Date d'abrogation différée | 1er janvier |
Délai avant abrogation | 6 |
Traitement des effets passés | Rétroactivité d'ordre public |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Oui |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Analyse de la différence de traitement qui est sans lien avec l'objectif poursuivi |
Motif d'inconstitutionnalité | Principe d'égalité devant la loi |
Remarque | Recentrage de la question par le Conseil constitutionnel
Effets dans le temps particuliers : le Conseil constitutionnel laisse au législateur le choix d'apprécier les suites qu'il convient de donner à cette déclaration d'inconstitutionnalité mais les juges prévoient une sorte de droit transitoire pour les instances en cours jusqu'à la prise d'effet de l'abrogation ("réserve d'interprétation" selon le commentaire) |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |