Numéro | 2016-535 |
Réf. de la décision du CC | Police des réunions et des lieux publics dans le cadre de l'état d'urgence |
Réf. décision de transm. | décision n° 395091 du 15 janvier 2016 |
Date | 19/02/2016 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Association (sauf professionnelle) |
Identité de l'auteur | Ligue des droits de l'homme |
Matière | Droit administratif |
Dispositif | Constitutionnalité simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 8 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Pas de motif impérieux d'intérêt général justifiant la validation législative |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | Pas de changement de circonstances qui permettent le réexamen de certaines dispositions
Contrôle à double détente (voir 2010-93 QPC et 2015-504/505 QPC). Prise en compte des travaux parlementaires. Abrogation de la rétroactivité de la loi nouvelle non pas parce qu'elle méconnaîtrait l'autorité de chose jugée du Ccel mais parce qu'elle n'est pas justifiée par un motif impérieux d'intérêt général (prise en compte de l'intérêt économique) |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |