Numéro | 2010-71 |
Réf. de la décision du CC | Hospitalisation sans consentement |
Réf. décision de transm. | n°339110 du 24 septembre 2010 |
Date | 26/11/2010 |
Origine | CE |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | Mlle Danielle S. |
Matière | Droit de la santé |
Dispositif | Inconstitutionnalité avec abrogation différée et réserve(s) |
Date d'abrogation différée | 1er aout |
Délai avant abrogation | 8 |
Traitement des effets passés | Absence de remise en cause |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | 1 |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | vérification de la recevabilité de la question prioritaire de constitutionnalité et contrôle de l'équilibre entre le principe de la liberté d'entreprendre et l'objectif de valeur constitutionnelle de sauvegarde de l'ordre public |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | §2 : précisions quant à l'effet des modifications ou de l'abrogation ultérieure d'une disposition contestée sur la recevabilité de la qpc. Le Conseil constitutionnel décide qu'elle ne fait pas obstacle "par elle-même, à la transmission de la question au Conseil constitutionnel au motif de l'absence de caractère sérieux de cette dernière". |
Caractère notable de la décision | Non |
Droit Constitutionnel Invoqué | Non |