Numéro | 2010-77 |
Réf. de la décision du CC | Comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité |
Réf. décision de transm. | Cass. Crim., 29 septembre 2010, n°10-90102 |
Date | 10/12/2010 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | Mme Barta Z. |
Matière | Droit pénal |
Dispositif | Constitutionnalité simple |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | Non défini |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | Le Conseil constitutionnel rappelle que l'objectif à valeur constitutionnelle de bonne administration de la justice (découlant des articles 12, 15 et 16 de la DDHC) ne peut pas être invoqué à l'appui d'une question prioritaire de constitionnalité sur le fondement de l'article 61-1 de la Constitution ; il précise que l'article 495-15-1 du Code de procédure pénale n'est pas contraire au principe constitutionnel de la présomption d'innocence (art. 9 DDHC) ; il précise que cet article n'est contraire à aucun autre droit ou liberté que la Constitution garantit. |
Caractère notable de la décision | Non |
Droit Constitutionnel Invoqué | Non |