Numéro | 2010-62 |
Réf. de la décision du CC | Détention provisoire : procédure devant le juge des libertés et de la détention |
Réf. décision de transm. | Cass. Crim., 14 septembre 2010, n°10-90093 |
Date | 17/12/2010 |
Origine | CCass |
Qualité du demandeur | Personne physique |
Identité de l'auteur | M. David M. |
Matière | Droit pénal |
Dispositif | Constitutionnalité avec réserve(s) |
Date d'abrogation différée | Non défini |
Délai avant abrogation | Non défini |
Traitement des effets passés | Non défini |
Nombre de membres siégeant | 9 |
Demande de récusation | Non défini |
Déport | Non défini |
Nom du membre déporté/récusé | Non défini |
Oralité | Oui |
Nombre d'intervention(s) admise(s) | Non défini |
Théorie changement de circonstances | Non |
Réserve d'opportunité | Non |
Réserve d'incompétence | Non défini |
Interprétation de la jurisprudence | Non |
Technique de contrôle | contrôle de proportionnalité, réserve d'interprétation constructive (§7) fondant la non-contrariété à l'article 16 DDHC |
Motif d'inconstitutionnalité | Non défini |
Remarque | - Modulation dans le temps d'une réserve d'interprétation. Celle ci n'est applicable que pour le futur. Précisions intéressantes dans le commentaire
-l'article 148 du Code de procédure pénale est considéré comme assurant "une conciliation qui n'est pas disproportionnée entre l'objectif de valeur constitutionnelle de bonne administration de la justice et les exigences qui résultent de l'article 16 de la DDHC" ; réserve d'interprétation : il faut que le demandeur ou son avocat ait pu avoir communication de l'avis du juge d'instruction et des réquisitions du ministère public ; Le Conseil constitutionnel précise que la disposition n'est contraire à aucun autre droit ou liberté que la Constitution garantit. |
Caractère notable de la décision | Oui |
Droit Constitutionnel Invoqué | Oui |